1812

1812

Jean-Joël Brégeon

"L'année 1812 s'inscrit au nombre de ces temps décisifs qui précipitent l'histoire. Pour l'Empire français, ce fut le commencement de la fin. Au faîte de sa puissance, Napoléon régente le continent. En mai, à Dresde, presque toute l'Europe lui fait la cour. En décembre, tout est joué. Il vient de perdre la plus grande armée jamais réunie et doit regagner Paris pour faire face à un nouvel assaut. Mais 1812, ce n'est pas seulement l'incendie de Moscou et la Berezina. C'est aussi la vie tranquille, loin de la guerre, pour des illustres -- Beethoven, Chateaubriand, Hegel -- et des millions d'inconnus. C'est encore l'éveil des peuples, des sentiments nationaux, en Pologne, en Espagne, en Allemagne, en Russie, en Italie... Les arts, les lettres, la philosophie se mêlent à la politique et donnent des chefs-d'œuvre. 1812 est l'année de Goethe, de Géricault, de Goya, de Turner ou de Canova. L'auteur fait ainsi un tour d'Europe, où se confronte le génie des peuples, pour le meilleur et pour le pire, pour la paix et pour la guerre."--P. [4] of cover.
Michelin Guide Paris 2007

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Vladimir Fédorovski

Vladimir Fédorovski

Isabelle Saint Bris

Qui est vraiment Vladimir Fédorovski ? Le diplomate chevronné qui fréquenta les dirigeants du Kremlin ? Le combattant de la liberté, le résistant au coup d'État de 1991 ? Ou encore le Fédorovski de ces dernières années, auteur de nombreux succès rédigés en français et traduits dans le monde entier, qui sort son vingtième livre Le Fantôme de Staline ? Alexandre Yakovlev, l'idéologue de la perestroïka le présentait ainsi dans Le Figaro : "II fut un des premiers à rompre avec les habitudes de la caste diplomatique pour s'engager dans la démarche de la perestroïka. Depuis 1985, on se souvient de son visage à la télévision française ou américaine, associé au vent des changements qui animait notre pays. Quand Gorbatchev fit marche arrière, Fédorovski n'hésita pas à quitter la "carrière". Je l'ai vu à l'oeuvre lorsqu'il fut le porte-parole du mouvement des réformes démocratiques dans les jours fatidiques de la résistance au putsch communiste de Moscou en aout 1991...". En suivant pendant des années ce personnage à première vue indéchiffrable, Isabelle Saint Bris a non seulement recueilli ses confidences mais a mené une minutieuse enquête, bousculant les idées reçues et dévoilant des secrets à demi enfouis, mettant en lumière les années cruciales de la chute du communisme, de la fin de la guerre froide, de la percée de la liberté. Un document exceptionnel sur un destin hors norme.
Xenophobe's Guide to the English

Xenophobe's Guide to the English

David Milsted | Antony Miall

Never overstep the markModeration―a treasured ideal―means a lot to the English. Their respect for it is reflected in their shared dislike of any person who “goes too far.” Irrational rationalityThe English can admire something without enjoying it, or enjoy something they suspect is fundamentally reprehensible. You can never be sure which stance they are going to take―the reassuringly reasonable, or the wildly irrational. I'm fine, reallyStoicism, the capacity to greet life's vicissitudes with cheerful calm, is an essential ingredient of Englishness. Push-me, pull-youTwo equally fundamental but contradictory English characteristics are a love of continuity and a yearning for change. In the English character these two opposite desires vie with each other constantly, which produces some curious behavior patterns and several characteristics most usually observed in the classic split personality.