Le Voisin

Le Voisin


 
Un mari souvent absent. Un métier qui ne l'épanouit guère. Un quotidien banal. Colombe Barou est une femme sans histoires. Comment imaginer ce qui l'attend dans le charmant appartement où elle vient d'emménager ? À l'étage supérieur, un inconnu lui a déclaré la guerre. Seule l'épaisseur d'un plancher la sépare désormais de son pire ennemi... Quel prix est-elle prête à payer pour retrouver sommeil et sérénité ? Grâce à un scénario implacable, Tatiana de Rosnay installe une tension psychologique extrême. Situant le danger à notre porte, elle réveille nos terreurs intimes.

 
Rien ne se passe comme le lecteur habitué aux films d’horreur ou aux comédies romantiques pourrait s’y attendre : entre thriller domestique, conflit intime et roman initiatique, l’auteure brouille les cartes et conduit son histoire vers une issue aussi subtile qu’inattendue. Karine Papillaud, Le Point.
L'erreur est humaine

L'erreur est humaine

Woody Allen mêle le ridicule à l'invraisemblable sans oublier d'y mettre une pincée d'acide. Il renoue avec un sens du décalage, de la dérision et de l'absurde qui rappelle l'esprit de ses premiers films. Avec, comme toujours, des dialogues à hurler de rire.
Les Ambassadeurs

Les Ambassadeurs

Paru en revue en 1903, Les Ambassadeurs est l’un des trois romans récapitulatifs, avec Les Ailes de la colombe et La Coupe d’or, d’un Henry James parvenu au sommet de son art. L'auteur lui-même considérait ce grand roman parisien comme son chef-d’œuvre : « Par bonheur, je me trouve en mesure de considérer cet ouvrage comme franchement le meilleur, “dans l’ensemble”, de tous ceux que j’ai produits. » Et de fait, c’est un de ses romans les plus brillants, les plus séduisants aussi. L’intrigue en est simple, même si l’analyse de ce qui va se jouer entre les divers personnages est, comme toujours chez James, extrêmement subtile. Elle est déjà présente dans les passionnantes « Notes préparatoires », plus de 100 pages inédites en français que nous donnons en annexe à cette nouvelle traduction : « En tout cas, cela me donne la petite idée d’un personnage d’homme âgé qui n’a pas “vécu”, pas du tout, dans le sens des sensations, des passions, des élans, des plaisirs – et qui, en présence de quelque grand spectacle humain, quelque grande organisation pour l’Immédiat, l’Agréable, la curiosité, l’expérience, la perception, en un mot, la Jouissance, s’en rend, sur la fin ou vers la fin, tristement compte. » Ce personnage, ce sera Lambert Strether, un Américain envoyé comme « ambassadeur » à Paris pour y récupérer Chad, le fils d’une riche amie, dont on craint qu’il soit en perdition morale. S’il parvient à ramener le jeune homme en Amérique pour qu’il se voue à l’entreprise qui lui est destinée, sa récompense sera d’épouser ladite amie qui, déjà, finance la revue littéraire qui est la seule identité de cet homme incapable d’action. Mais l’on comprend très vite, dès les premières pages du livre, que Strether va faire des rencontres susceptibles de modifier le sens de sa mission. Et qu’il ne sera lui-même pas insensible aux séductions du « grand spectacle humain » qu’est Paris – « le Paris des boulevards, contemplés du second étage des balcons haussmanniens et des toiles impressionnistes » (Mona Ozouf) – merveilleusement évoqué ici par James. Le roman avait été traduit par Georges Belmont pour les éditions Robert Laffont en 1950, une traduction qui est aujourd’hui introuvable. Cherchant à expliciter la totalité du sens, elle était bien moins « jamesienne » que la magistrale traduction de Jean Pavans qui, après quelques trente années de confrontation avec l’auteur des Ambassadeurs, en fait percevoir le très subtil humour, présent de la première à la dernière page du livre et qui parvient surtout à donner le sentiment qu’on lit, avec toutes ses ambiguïtés qui ne sont jamais gommées, le texte même de James, dans toute sa splendide vitalité.Contrairement à la traduction de Belmont, fondée sur l’édition américaine sans doute fautive, la version de Jean Pavans rétablit l’ordre chronologique des derniers chapitres de l’édition anglaise. « Bref, toute l’affaire se résume à la déclaration irrépressible de Lambert Strether au petit Bilham, un dimanche après-midi, dans le jardin de Gloriani […] : « Vivez autant que vous le pouvez ; c’est une erreur de ne pas le faire. Peu importe vraiment ce que vous faites en particulier, du moment que vous avez votre vie. Si on n’a pas eu cela, qu’a-t-on eu ? Je suis vieux... trop vieux en tout cas pour ce que je vois. Ce qu’on perd, on le perd ; ne vous trompez pas là-dessus. Cependant, on a l’illusion de la liberté ; par conséquent, ne soyez pas, comme moi, dénué du souvenir de cette illusion. J’étais, au moment venu, soit trop stupide soit trop intelligent pour l’avoir, et maintenant je suis un cas de réaction contre cette erreur. Faites ce que vous voulez, tant que vous ne faites pas mon erreur. Car c’était une erreur. Vivez, vivez !Henry James, Préface à l’édition de 1909.
LES ANIMAUX DE LA FERME - L AGRANDE IMAGERIE

LES ANIMAUX DE LA FERME - L AGRANDE IMAGERIE

R260193084. LES ANIMAUX DE LA FERME - L AGRANDE IMAGERIE. 2012. In-4. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 27 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleur dans et hors texte -. . . . Classification Dewey : 590-Zoologie
Les Bienveillantes (French Edition)

Les Bienveillantes (French Edition)

This thick and engrossing volume aims to be an insider's look on the entrails of the machinery of death put in place by Nazi Germany in World War II in the east from 1941 through the demise of the 3rd Reich. The point of view and adventures of a former SS officer (Dr. Max Aue) seem at first sight merely technical artifacts to allow the reader the details of several aspects of the Nazi era and the author's thorough knowledge and research of specifics of the period. These range from the bureaucratic struggles and turf wars within the different power spheres within the Nazi regime, the role of police units in the east behind the front lines, Wehrmacht-SS disputes, the military operations in the Caucasus, the linguistic and migratory histories of the Caucasian peoples, the Red Army rampage in East Prussia and the bombing of the Reich, the debauchery in the closing days of the war, music and homosexuality through nazi ideology, the question of how far did society know or wish to know about the atrocities, among many other topics. The most striking aspect in the treatment of these issues is, however, the dark veil of Nazi ideology. The narrative seems to seek the proof that Nazism permeated almost every endeavor of military and social life in World War II Germany, and it succeeds doing so.

In parallel to these quasi-historical narratives flows the personal life of Dr. Aue. In these episodes the grip of the author is somewhat less convincing and blunter, implying that deep personal psychological disturbances have had to be at the root of the Nazi evil. The closing paragraph in the book provides a sharp and dramatic ending, putting treachery to the human spirit as the final driver of Nazi ideology.
Les Hauts de Hurle-Vent

Les Hauts de Hurle-Vent

Les Earnshaw coulent des jours heureux dans leur domaine des Hauts de Hurle-Vent, perdu dans les landes. L'arrivée de Heathcliff, un enfant adopté, va bouleverser leur destin. Le garçon éprouve une passion dévorante pour Catherine, la fille de son protecteur, mais celle-ci choisit d'en épouser un autre. La vengeance de Heathcliff sera à la hauteur de cet amour impossible ... Dans une version abrégée, l'un des romans les plus célèbres de la littérature anglaise.
Les Légendaires - Origines

Les Légendaires - Origines

Découvrez le passé de chaque Légendaire et les événements qui l’ont conduit à en devenir un. À commencer par Danaël, évidemment, le futur leader des Légendaires !Devenu Faucon d’argent comme son père, Danaël parcourt Alysia en quête de justice et de vérité. Impulsif, arrogant et belliqueux, le jeune homme ne trouve pas sa place dans ce corps d’armée dirigé par son frère. Mais il y a d’autre façon de servir la justice que dans une armure, il l’apprendra très prochainement...
Les Médicaments m'ont tuée

Les Médicaments m'ont tuée


 
Tout commence par une simple migraine. Et quelques cachets d'Ibuprofène pour la soulager. Delphine a d'abord de la fièvre puis ses yeux gonflent. Très vite, la vie de cette mère de famille se transforme en cauchemar. Son épiderme fond : elle est transférée dans le service des grands brûlés de Créteil. Il faudra le soutien du personnel médical, la mobilisation de sa famille et un courage incroyable pour la sortir de cet engrenage infernal.

 
En racontant au jour le jour le combat contre la mort de sa soeur Delphine, Elise Maillard livre un témoignage-choc, une course contre la montre qui se lit comme un roman à suspense.

 
En vente courante dans les pharmacies, l'Ibuprofène est l'anti-inflammatoire le plus consommé en France.

 
Certains effets secondaires de médicaments peuvent tuer, il est temps que cela se sache.